cedricguppy a écrit :merci Florent.De.Gasperis d'avoir donné vie a se sujet, j'ai pu également observé des spécimens possédant des reflet bleu dans le nageoire dorsale, quelqu'un aurait-il également des observations similaires.
Hulk a écrit:
Je suis tout à fait d'accord, mais pour Maxime et Cédric, je suppose que c'est le résultat qui compte, et qui est à peu près le même. D'ailleurs, je suppose que même les outils moléculaires sont impuissants à distinguer une population originellement hybride qui s'est recombinée à plusieurs reprises avec chacune des populations parentales.
merci de ton attention, mais je suis assez d'accord avec le fait de ne pas forcément pouvoir comprendre si l'on a pas les explications qui vont avec...
xpmax
il est blanc avec quelques taches jaunes ou parfois sans, certains sont sans liseré noir d'autres avec ...tout cela sur du "sauvages" , ils ressemblent a un "mélange" de Lion's Cove et de Nkhata Bay.Ce n'est peut-être pas pour rien qu'il y a cette coïncidence de localité (situé entre les 2) ??
pas du tout d'accord avec ça!
comme déjà dis plus haut, certains sont tout blanc, d'autres ont la dorsale noire, d'autres des taches jaunes.......
En fait c'est ce genre de description que j'ai un peu de mal a comprendre ex : chez un Cyprichromis "utinta" (du Tanga) ou autre localité, pour ceux qui possède une tache dans la partie molle de la nageoire dorsale, cette tache est fixe et c'est ça le truc c'est quel est fixe (elle ce situ dans la dorsale) et après qu'importe quel soit plus ou moins jaune, orange ou bleu. Après que se soit un liseré, une tache ou encore une vermiculure présente ou non OK mais a tel endroit bien précis.
Mis a part les OB qui ont des taches si et là suivant les spécimens il me semble pas que les autre espèce on des taches, a différent endroit suivant les sujet. Que la tache varie de coloration suivant les sujet oui mais quel soit placé sur une autre partie du corps non. (je n'est pas cette expérience mais celle de différente coloration chez une même "population")
Hum... Je trouve le tout confus (toute contrepèterie serait totalement à l'insu de mon plein gré
). Juste pour préciser un point: la présence ou non de taches n'est pas forcément un critère déterminant, tout dépend du taxon considéré. Comme tout caractère, les taches peuvent être très stables dans certains cas (la tache tilapienne, par exemple), ou au contraire très variables. Dans le cas des Cyprichromis leptosoma d'Utinta, elle n'est pas totalement figée, même si sa présence est en effet habituelle dans cette population. Et même des caractères a priori extrêmement stables peuvent se mettre à varier au sein d'une population.
Concernant les Labidochromis caeruleus, d'après mon expérience, en général, les individus sont uniformes avec des liserés noirs aux nageoires impaires, les autres types d'individus étant des exceptions. Mais il est possible aussi que ces individus soient abondants en milieu naturel mais non récoltés, soient qu'ils ne soient pas reconnus par les pêcheurs comme appartenant à l'espèce qu'ils recherchent, soit qu'ils soient considérés comme commercialement moins intéressants. Il est possible aussi que des individus dits exceptionnels soient la règle dans une localité donnée. Auquel cas, il peut valoir le coup de leur donner un statut de race (sous-espèce), tout dépend de la stabilité du phénotype (l'aspect extérieur) considéré en un point donné. Bien entendu, l'arbitraire joue encore plus que pour la reconnaissance d'une espèce.
Pour conclure, d'après mon expérience, les deux populations nettement reconnaissables sont la blanche et la noire. S'il s'avérait qu'il existe des populations dans lesquelles le liseré noir est presque toujours absent, elles mériteraient sans doute également d'être distinguées.