- 22 juin 2015 11:27
#351586
Pour bon nombre d'aquariophiles, cela n'aura pas d'importance, pour d'autres un peu plus "chipoteurs", cela sera une condition sinequanone pour une réelle réussite.
Mais sur quels critères se baser et qui va décréter que cela est ou sera valable ou non ?
Il y a de nombreux exemples qui ne sont pas pris au sérieux, voire sur quels spécimens et ou issus de quoi et provenant d'où pour des poissons originaires de certains lacs africains.
Comment être pris au sérieux dans ces cas là ?
Si c'est pour empêcher que des poissons soient prélevés en milieux naturels, cela peut éventuellement et ou partiellement marcher, mais si c'est pour une conservation de la souche dans un but de réintroduire en milieux naturels, là j'ai comme un doute sur le bien fondé de la chose, du moins avec les conditions actuelles et le peu de membres adhérents aux projets. Surtout qu'il faut traiter aussi en avale ( endroits de ré-empoissonnement probables ) Car si certaines espèces ont disparu de leur aire de prédilection, soit à cause d'un chamboulement du à différentes raisons, comme une pollution, une montée ou descente du niveau d'eau, construction humaine, etc., si aucun remède n'est apporté là, une réintroduction ne sera pas possible.
Il est vrai que si les choses sont " forcées ", comme une interdiction de prélèvements en milieux naturels et ou d'importations, cela pourra fonctionner comme pour le Labidochromis caruleus, mais autrement, tu auras toujours des gens qui ne voudront que du F0, soit par "snobisme", soit par non connaissance du problème de disparition ou raréfaction d'une espèce sur son aire de répartition.
Il y a beaucoup de matières à discussion ...
[Edit : fautes ortho]
Modifié en dernier par xenotrophe le 12 nov. 2015 15:58, modifié 1 fois.