- 25 déc. 2003 21:49
#93337
Moi je suis pour la solution 1.
Tout d'abord, (désolé flo) coller une plaque de verre de plus ou de moins, ça ne change rien.
Ensuite, les calculs de débits, vitesse et tout et tout, c'est bien joli mais bien aléatoire aussi quand on oublie pertes dans les virages et l'encrasement des masses filtrantes.
La solution 1 (mais pourquoi tu l'as placée en deuxième position ????) offre un avantage : nettoyage des masses filtrantes de façon "clean nickel à fond" peut se faire vu qu"il y a 2 masses filtrrantes distinctes?
Pour le nettoyage des parties d'aspiration, on appelle ce genre de filtre "à décantation" parce qu'une bonne partie des merdes se déposent par DECANTATION dans le compartiment d'aspiration. Elle n'entre de ce fait pas dans la filtration = création de nitrates comme les déchets déposés doivent être siphonnés régulièrement. Sinon, autant mettre des masses filtrantes dans le compartiment d'aspiration. Donc dans ce cas, le nettoyage de cette partie se fait au tuyau en siphonnant donc quelques cm suffisent pour ça.
Pour ce qui est des zonnes mortes, type 1 ou 2 il ne doit pas y en avoir dans le bac, filtration puissante ou brassage.
PS moi dans le cas 2 je mettrais 2 mousses verticales et je boyrrerais le bas laissé libre de masse filtrante (une fine et/ou spécifique, une grossière mais pouvant être rincée rarement avec une faune bactérienne bien installée). Moins de risque de colmatage et de pb avec la pomùpe et la santé des poissons du bac.
PS 2 : redésolé flo mais le coup des diffuseurs dans le compartiment d'aspiration, c'est bien pour l'efficacité des bactéries mais dans ce cas on ne parle plus de décantation. Et c'est bien domage.
PS 3 : 2 cm de large c'est trop, trop de poissons s'y cachent (c'est chiant si on veut attrapper, pour observer) et dans ce cas impossible d'y isoler un poisson. Pour ce qui est d'une cachette de plus, quand un oisson se cache de façon permanente dans le filtre je me dis que le bac est mal foutu pour lui.
PS 4 : j'espère que vous (surtout AGA) appréciez cet effort parce que je suis mort.
.... si j'étais Dieu, je ne croirais pas en moi, mais si j'étais moi ... j'me méfierais !
En ces temps difficiles, il convient d'accorder notre mépris avec parcimonie, tant nombreux sont les nécessiteux.